Boris Charmatz

héâtre-élévision

(pseudo spectacle)

Archive 2002
Danse
1/3

Boris Charmatz 
héâtre-élévision (Pseudo-spectacle)
Chorégraphie : Boris Charmatz
Avec Nuno Bizarro, Boris Charmatz, Julia Cima, Benoît Lachambre, Mathilde Lapostolle, Myriam Lebreton et Philippe Bailleul.
Lumière : Yves Godin
Coordination artistique : Dimitri Chamblas
Image : Madjid Hakimi
Son : Edna, Philippe Bailleul, Galina Ustvolskaya
Durée : 50'
Production : Association Edna
Avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France – Ministère de la culture et de la communication.
Coproduction : Kaaitheater/Bruxelles, Le Cargo / Maison de la culture de Grenoble, Les Spectacles vivants – Centre Pompidou, Paris, Centre national de la danse, Centre chorégraphique national de Tours, Bonlieu Scène nationale/Annecy, Festival d'Automne à Paris, Montpellier Danse, Centre chorégraphique national de Montpellier Languedoc-Roussillon, Hebbel Theater/Berlin, Siemens Arts Program.
Avec le soutien du DICREAM (Aide à la réalisation), de la Compagnie DCA – Philippe Decouflé, et du groupe TSF.
héâtre-élévision a été réalisé dans le cadre d’une résidence à La Chaufferie/Saint-Denis.

Une installation chorégraphique ou un spectacle (un pseudo spectacle), à voir et à entendre par un spectateur seul, pendant une heure. L’ouvreuse accueille le spectateur, l’accompagne dans une pièce, lui explique brièvement le principe de l’expérience. Il s’allonge et regarde un poste de télévision renversé sur le côté, à l’intérieur duquel se déroule une chorégraphie pour toutes sortes de boîtes noires, six danseurs, un accordeur de piano, des mires trafiquées et cent quarante figurants.
« Il s’agit d’un pari, des artistes sautent le pas en priant pour que l’odeur de leur travail subsiste après l’anesthésie de l’écran, des pixels et le cloisonnement des murs de théâtre. […] On vient à héâtre-élévision un par un, mais on y trouve le confort d’une fumerie d’opium. On a le droit à un demi-sommeil mérité et qui ne nuit pas au processus. »
 

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